Campagne de France 1814
J'habite à Orléans. Enfin pas loin.
Cela signifie que l'histoire locale se résume à une année : 1429.
1429 c'est la libération de la ville par Jeanne d'Arc.
En dehors de cela, vous ne trouverez quasiment rien sur l'histoire d'Orléans et encore moins sur l'Empire.
A croire que cette ville s'est endormie sur sa grande tradition royaliste et a fait le mort pendant la période allant de la Révolution française au retour de Louis XVIII !
Sauf qu'en fouillant un peu, on trouve autre chose que la seule histoire de la Pucelle.
Je vous propose ici de suivre ce qui s'est passé à côté de chez moi il y a exactement 200 ans.
Ah oui, 2014 n'est pas que le centenaire de la Grande Guerre. C'est aussi le bicentenaire de la Campagne de France de 1814.
Cela signifie que l'histoire locale se résume à une année : 1429.
1429 c'est la libération de la ville par Jeanne d'Arc.
En dehors de cela, vous ne trouverez quasiment rien sur l'histoire d'Orléans et encore moins sur l'Empire.
A croire que cette ville s'est endormie sur sa grande tradition royaliste et a fait le mort pendant la période allant de la Révolution française au retour de Louis XVIII !
Sauf qu'en fouillant un peu, on trouve autre chose que la seule histoire de la Pucelle.
Je vous propose ici de suivre ce qui s'est passé à côté de chez moi il y a exactement 200 ans.
Ah oui, 2014 n'est pas que le centenaire de la Grande Guerre. C'est aussi le bicentenaire de la Campagne de France de 1814.
La France Impériale en 1814
Suite
à la désastreuse retraite de Russie, en 1812, et après les revers non moins
déplorables de la campagne de 1813 en Allemagne, les débris de l’armée
française furent refoulés sur le Rhin et réduits à défendre les anciennes frontières
de la France.
Les
soldats des nations alliées s’avançaient, menaçant à la fois toutes nos
frontières, aussi bien celles du sud-ouest par l’Espagne et les Pyrénées, que
celles du sud-est, de l’est et du nord-est par les Alpes, l’Italie, la Suisse,
les provinces rhénanes, l’Allemagne et la Belgique.
Repoussés sur tous les points par l’immense
supériorité numérique de l’ennemi, les différents corps français cédaient le
terrain pied à pied.
Le
31 décembre, l’armée prussienne, sous le commandement du général Blücher,
passait également le Rhin, depuis Mannheim jusqu’à Coblence.
Du
2 au 25 janvier 1814, les Alliés pénètrent rapidement en territoire français et
leur ligne d’opérations est établie sur la Saône, l’Ain, la Meuse et la Marne.
Du
10 au 14 février, combats de Champaubert, Montmirail, Vauchamp, dans lesquels
Napoléon, perdant peu de monde, anéantit une armée de 80.000 Prussiens et
Russes.
Mais
l’ennemi était suivi par des effectifs si nombreux qu’il pouvait facilement
réparer ses pertes et recommencer la lutte. Au contraire, l’armée française,
sans moyens de se renforcer, voyait diminuer ses forces, même à chaque
victoire.
C’est
ainsi que malgré leurs dernières défaites, des corps autrichiens, bavarois et
russes s’étaient emparés, du 10 au 14 février, des villes de Nogent-sur-Seine,
Sens et Pont-sur-Yonne, préparant par ces manoeuvres la marche de l’armée
alliée sur Paris. Les coalisés, malgré leurs pertes, étaient donc parvenus dès
le milieu du mois de février à pénétrer jusqu’au coeur de la France, menaçant
sa capitale à la fois par le nord, l’est et le sud-est.
Le Gâtinais
Les combats qui venaient d’être livrés en Champagne avaient
conduit les troupes étrangères de la vallée de la Seine dans celle de l’Yonne.
Dès les premiers jours de février, elles occupaient la ligne qui s’étend de
Pont-sur-Yonne à Montereau.
Il ne restait plus aux alliés qu’à franchir le Loing pour envahir
les plaines du Gâtinais, dépourvues de défenseurs, tourner la ville de
Fontainebleau, à peine gardée par quelques conscrits et par l’Ecole militaire
des pupilles de la garde, et s’avancer,
presque sans obstacle, jusqu’à Orléans et la Loire.
La possession de la route impériale n°51 était de la plus grande
importance pour maintenir les communications de l’armée française opérant en
Champagne, avec celle dite d’Espagne alors rentrée en France et commandée par
le maréchal Soult.
L’Empereur ne pouvait disposer que de quelques escadrons de
dragons revenus d’Espagne, pour observer et garder les passages de l’Essonne.
Ces dragons, organisés en petits détachements de La
Chapelle-la-Reine à Manchecourt, où était leur corps principal, battaient
constamment la campagne, poussant des reconnaissances dans les différentes
directions par lesquelles l’ennemi pourrait se présenter.
Cette cavalerie se composait de vétérans de la guerre d’Espagne.
En cas de trop grande disproportion de forces, ces dragons avaient ordre de se
retirer sur la forêt de Fontainebleau, afin de couvrir cette ville, laissant la
voie libre aux troupes ennemies.
Les alliés étaient descendus de la Champagne dans la
Basse-Bourgogne, occupant la ligne de l’Yonne depuis Joigny et Sens jusqu’à
près de Montereau.
Ils se disposaient à franchir le Loing, à Montargis, Souppes, ou
même à Nemours. Leurs colonnes, détachées de l’armée sous les ordres du prince
Schwarzenberg, s’avançaient d’un côté par Sens, Courtenay et Ferrières vers
Montargis ; de l’autre, par Lorrez-le-Bocage et Chéroy sur Nemours : leur
objectif était la route de Paris à Lyon par le Bourbonnais, afin d’intercepter
les communications et couper le corps d’armée du Maréchal Augereau, chargé de
couvrir Lyon, de l’armée commandée par l’Empereur.
Les troupes alliées qui s’avançaient vers cette route était
composée d’environ huit mille de cavaliers russes et cosaques, accompagnés de
plusieurs batteries d’artillerie. Ils
étaient sous les ordres supérieurs du général Platov et du général russe
Seslavine.
Dès le commencement de février, des partis de Cosaques, échappant
à la cavalerie française, trop peu nombreuse pour les contenir, avaient poussé
des reconnaissances dans la vallée de l’Yonne et s’étaient établis entre Sens
et Courtenay, sans rencontrer un seul soldat français.
Le 2 février, ils s’étaient avancés jusqu’à la hauteur de Souppes,
pour reconnaître les ponts sur le Loing et le canal.
Toutes les communes rurales étaient sur le qui-vive ; on y avait
organisé une garde nationale armée de piques et de fusil de chasse. Montargis
était la seule ville gardée par un détachement de troupe de ligne.
On profita de l’absence de Cosaques des environs de Courtenay pour
évacuer sur Fontainebleau, Nemours, Montargis et Pithiviers, une partie des
nombreux militaires français malades, ou blessés dans les derniers combats.
Le 12 février, quelques éclaireurs russes se présentèrent à
Montargis, observant ce qui se passait dans la ville et cherchant à s’assurer
qu’elle n’était plus gardée par une force française régulière et finit par
occuper la ville.
Le lundi 14 février, à 9 heures du matin, le général russe leva son
camp, n’y laissant qu’un officier et 60 Cosaques.
Le général Seslavine, se mis en route avec son corps se dirigea
par la route de Beaune vers Pithiviers où entrèrent ses cavaliers.
le 16 février, vers midi, le général Seslavine se mit en marche
avec toutes ses forces, s’élevant à près de trois mille hommes et plusieurs
pièces de canon en direction de Bellegarde.
Les cosaques à Châteauneuf-sur-Loire
Le Général Chasseraux, à
qui le commandement du département du Loiret a été confié, arrive à Orléans le
14 février 1814 après s’être fait attendre durant plus de deux semaines.
Il
trouve la ville d’Orléans en travaux suite à la prise en charge de la défense
de la ville par le général-comte Chasseloup.
Ces
quelques menus travaux consistaient essentiellement en un renforcement de
palissades et des diverses portes de la ville.
Le
16 février, Châteauneuf-sur-Loire voit arriver une petite troupe d’une
vingtaine de cosaques en provenance de Bellegarde. Celle-ci ne fera aucune
tentative contre la ville. En effet, Châteauneuf est gardé par environ 1200
hommes (2 bataillons de gardes nationales de Vendée soit 1000 hommes et
d’environ 160 hommes issus de régiments d’infanterie de ligne), commandés par
le major Guillemin du 26ème régiment d’infanterie de ligne.
Les
cosaques reviennent cependant en nombre le 17 février vers 17h. Ils sont 1500
et accompagnés de 2 pièces d’artillerie.
Une
fusillade s’engage et le major Guillemin va très vite devoir faire face à la
défection des gardes vendéennes. En effet celles-ci, sans uniforme, n’ayant
qu’à peine 200 fusils en état de faire feu, s’enfuient au premier coup de
fusil.
Les
Russes sont cependant repoussés et vont établir leur quartier général dans la
ferme de la Pavillière sur la route de Bellegarde
Se
trouvant avec peu de troupes et malgré l’avantage pris sur les troupes
cosaques, le major se replie sur la route d’Orléans et prend position dans le
secteur de Bionne.
Les
Russes occupent alors Châteauneuf-sur-Loire qu’ils pillent, et poussent jusqu’à
Saint-Denis-de l’Hôtel où ils s’emparent d’une douzaine de bateaux, les rendant
ainsi à même de passer sur la rive gauche du fleuve par Jargeau (Le pont, dont plusieurs
arches s’étaient écroulé au fil du temps, était remplacé par un bac depuis 1790).Le combat de Bionne
Alerté vers 5 heures du matin le 18 février, le général
Chasseraux fait envoyer à Bionne un détachement de 200 hommes de ligne
accompagnés par 15 cavaliers du 4ème régiment de dragons, vétérans
de la campagne d’Espagne (Division Treillard, Brigade Ismert).
Bionne est un hameau de Saint-Jean-de-Braye, situé au nord
de la route, mais concernant aussi le château homonyme, situé lui au sud de la
route, et siège du domaine de M. de La Feuillez.
La
garde urbaine, peu disposée à se porter à l’ennemi, est quant à elle chargée du
service intérieur.
Les
troupes présentes à Bionne sont placées sous le commandement du major Lagneau
du 155ème régiment d’infanterie de ligne.
Les
avant-postes cosaques sont poursuivis sur 2 lieues. Les 15 dragons, menés par
le Maréchal des Logis Granad, lancent une charge sur 40 cosaques, en tuent 8
ainsi qu’un officier. Ils doivent cependant refluer face à une charge de 400
cosaques, abandonnant les 12 prisonniers qu’ils ramenaient avec eux.
L’ennemi
fit alors avancer ses pièces d’artillerie mais celles-ci ne firent au final que
du bruit, n’éprouvant pas les troupes françaises qui durent cependant se
replier sur la position de Bionne.
À
ce moment, le général Chasseraux n’avait pas d’artillerie à opposer aux Russes,
et il espérait l’arrivée du général Sparre accompagné de 2 batteries
d’artillerie et de 2 régiments de dragons. Ce dernier était à la
Ferté-Saint-Aubin pour réunir sa brigade et n’arrivera vers Orléans que le 24
février.
Les
Français se trouvent alors bientôt à court de munitions et ce n’est que vers 23
heures qu’ils purent à nouveau en être pourvus.
Le
général Seslavin adresse alors, par l’intermédiaire du maire de Semoy, une
sommation de se rendre : « La ville d’Orléans est en
danger. Si on ne la rend pas, alors le corps qui vient sous le commendement
(sic) du général faire bruler (sic) la ville. »
Le
général et le conseil municipal décident de ne pas en tenir compte.
À
Orléans, les gardes nationales d’Ille-et-Vilaine et des Deux-Sèvres furent
placées sur le rempart entre les portes Bourgogne et Saint Vincent.
Les
troupes placées à Bionne furent rejointes par les cadres des 27ème
et 69ème régiments de lignes présents à Orléans.
À
minuit, les troupes cosaques lancèrent un hourra général, mais ce
mouvement avait été anticipé et leurs cavaliers furent accueillis par des
salves à bout portant, perdant ainsi 30 hommes et 2 officiers.
Ils
furent finalement repoussés le 19 février à la pointe du jour et s’enfuirent en
direction de Châteauneuf-sur-Loire et Bellegarde.
Les
pertes françaises ne sont estimées qu’à environ 11 tués et une trentaine de
blessés alors que les pertes russes sont d’environ 80 tués pour une centaine de
blessés.
La
bonne tenue des troupes devant Orléans vaudra au général Chasseraux un
témoignage de satisfaction de la part de l’Empereur.
L’échec
du général Seslavine devant Orléans, ainsi que la victoire de l’Empereur à la
bataille de Montereau hâtera le départ des troupes russes du Loiret. En effet,
Un ordre de l’Empereur Alexandre envoya le général Seslavine sur l’extrême
droite de l’armée du Prince Lichtenstein.
Le
général quitta le Loiret par Montereau et Provins pour relever le général Diebitsch.
Pendant cette marche précipitée, les Russes rencontrèrent près de
Bellegarde un détachement de deux cents hommes du 155e de ligne, conscrits pour la plupart, et dont une partie seulement
était armée mais sans cartouches. Les Cosaques les entourèrent, et sans leur
donner le temps de se défendre, ils en firent 114 prisonniers, qu’ils forcèrent
à les suivre en continuant leur retraite.
Le dimanche 20 février, à huit heures du matin, le général
Seslavine, avec sa division, traversait de nouveau Montargis. Il n’y fit qu’une
courte halte pour laisser quelques heures de repos aux hommes et aux chevaux
harassés de fatigue. A deux heures après-midi, toute la colonne se remettait en
marche, se dirigeant sur Sens et Villeneuve-le-Roi, par Ferrières et Courtenay,
d’où elle était venue. A quatre heures il ne restait plus un seul Cosaque à
Montargis.
L’état des troupes et des pertes
Au moment de l’arrivée des cosaques à Orléans,
le général Chasseraux a à sa disposition des troupes d’origines diverses.
La garde urbaine d’Orléans n’est créée que
depuis environ 3 semaines et est peu encline à sortir de la ville pour se
frotter aux envahisseurs.
Les gardes nationales
d’Ille-et-Vilaine et des Deux-Sèvres ne seront armées que de piques et se
tiendront sur les remparts de la ville.
Les
troupes régulières présentes à Orléans sont issues de divers régiments. Nous
avons pu identifier dans les divers rapports et courriers la présence de
membres des 155ème, 153ème, 27ème, 69ème
régiments d’infanterie de ligne ainsi que d’une quinzaine de dragons du 4ème
régiment.
Il dut cependant également se trouver des membres
d’autres régiments.
Nous en trouvons trace dans un courrier du maire
d’Orléans parlant du major Guillemin du 26ème régiment. Il s’agit de
l’officier qui commande les troupes présentes à Châteauneuf-sur-Loire le 17 février. S’agit-il du 26ème
régiment d’infanterie de ligne, légère, ou du 26ème régiment de
chasseur à cheval (voir ci-dessous) ?
Le Tableau des officiers tués et blessés
pendant les guerres de l’empire, par Martinien fait également état du
sous-lieutenant Clere du 26ème régiment de chasseur à cheval blessé
le 19 février à l’affaire entre Bionne et Orléans, du sous-lieutenant
Fraissinet du 23ème régiment d’infanterie légère blessé à Bionne le
même jour.
Deux autres officiers, membres
de régiments cités précédemment ont également été blessés.
Il s’agit du capitaine Faure du 155ème
régiment d’infanterie de ligne, qui a eu la cuisse gauche cassée par un coup de
feu le 18 février à l’affaire d’Orléans.
Le capitaine Renault du 153ème
régiment d’infanterie de ligne est également noté comme ayant été blessé à la
cuisse droite, mais le lieu du combat est incertain (Le
Martinien donne le capitaine Renault blessé à la bataille de Montereau (p. 382)
alors que Jean-Pierre Mir (Mémento sur la
campagne de France, p. 213) le note blessé à l’affaire d’Orléans).
Stanislas Baudry, chef du 1er
bataillon de la garde nationale mobile de Loire-Inférieure, présent à
Châteauneuf-sur-Loire et au combat de Bionne, fait également état de la
présence du 15ème chasseurs et de quelques cavaliers. Le terme de
chasseurs s’applique à deux types de troupes distinctes : l’infanterie
légère et la cavalerie légère. S’agit-il de membres du 15ème
régiment d’infanterie légère ou du 15ème régiment de chasseurs à cheval,
nous n’en trouvons pas de précisions.
Les lieux exacts du combat de Bionne : une énigme.
Réussir
à placer géographiquement avec certitude les lieux même de l’engagement avec
les troupes du général Seslavine n’est pas chose aisée.
Le
général Chasseraux et tous les courriers ou rapports officiels parlent de
Bionne comme le lieu de ce combat.
Une
lettre de M. de la Feuilliez,
propriétaire du domaine de Bionne, évoque cependant le passage des troupes
russes sur le pont de Bionne et en aucun cas le déroulement d’un combat, ce qui
laisse supposer qu’il s’est déroulé sur cette même commune de
Saint-Jean-de-Braye, dans la côte où il a pu être observé par les envoyés de la
préfecture, postés non loin du café le « Narval » actuel.
L’historique du 155ème régiment
d’infanterie de ligne nous donne une autre précision : « Le major
Lagneau n'ayant pas d'artillerie à leur opposer et manquant de cartouches
rétrograda sur Orléans. Les troupes de la place furent réparties sur les
remparts ». Aucune indication concernant ce retrait des troupes
françaises de Bionne n’est cependant évoqué par le Général Chasseraux dans son
rapport.
Le maire d’Orléans Crignon Desormeaux nous précise tout de même : « On
entendit des fusillades ennemies très près de la porte de la ville. Le
commandant de la place fit lui-même des reconnaissances avec de fortes
patrouilles et débarqua des tirailleurs ennemis qui s’étaient avancés
presque sous les murs à minuit. Le calme le plus profond commença à régner. On
voyait à une lieue de la ville les feux ennemis. Toutes les troupes de la
garnison bivouaquèrent sur la place et sur les remparts où elles allumèrent
leurs feux. »
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Demain je vous présenterai les 2 généraux présents lors de ce combat, ou du moins chargé du commandement... ainsi que les troupes russes en présence.
Ah et puis aussi une petite histoire sur un pauvre soldat...
En espérant que ce récit un peu long vous ait plût et que cela puisse vous pousser à faire vous-même vos recherches sur ce qui s'est passé à côté de chez vous. Parce que ce que je n'ai pas précisé, c'est que j'ai grandit à 500 mètres au plus des lieux de ce combat sans le savoir.
et après, on peut toujours croire que j'aime le 1erEmpire par hasard !!
Vous retrouverez un résumé de tout ceci sur ce site dédié à la Campagne de France de 1814 :
http://www.campagnede1814.com/
Un petit bug de couleur... Voilà c'est corrigé, merci à Franck !! ;)
RépondreSupprimerBonjour Monsieur,
RépondreSupprimerNotre comité des Sages histoire de Semoy, recherche des documents sur son passé.Sur votre blog qui est vraiment très bien réalisé, un document nous intéresse, la lettre de Mr Dallière maire de Semoy. Pourrions -nous utiliser ce document avec votre accord et en mentionnant votre source.
Bien cordialement
Marie-Thérèse Guellier
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci pour votre commentaire.
Pouvez-vous me contacter par mail ?