Campagne de France 1814 suite...
Le 17 février 1814, une troupe de cosaques s'approche de Châteauneuf-sur-Loire et y pénètre vers 17h.
Ils sont 1500 accompagnés de 2 canons.
Leur faisant face, 2 bataillons de gardes nationaux et environ 160 hommes de régiments de ligne. Au total, le Major Guillemin du 26ème régiment a à sa disposition environ 1200 hommes dont la plupart est sans uniforme et sans arme. Il n'a que 200 fusils à opposer aux russes.
Au final 3 hommes de la Garde Nationale de Loire Inférieure seront portés disparus à l'issu du combat de ce 17 février.
Un seul d'entre eux sera retrouvé. Mort.
Ils sont 1500 accompagnés de 2 canons.
Leur faisant face, 2 bataillons de gardes nationaux et environ 160 hommes de régiments de ligne. Au total, le Major Guillemin du 26ème régiment a à sa disposition environ 1200 hommes dont la plupart est sans uniforme et sans arme. Il n'a que 200 fusils à opposer aux russes.
Au final 3 hommes de la Garde Nationale de Loire Inférieure seront portés disparus à l'issu du combat de ce 17 février.
Un seul d'entre eux sera retrouvé. Mort.
Le 18 février, Jacques Robineau, adjoint au
maire de cette commune déclare la découverte du corps d’un militaire de la
Garde Nationale dans un Pavillon du Château qui avait servi de corps de garde à
la troupe française. Ce militaire y gisait « mort sur le
carreau, étant percé d’un coup de lance au niveau du nombril et ayant les
boyaux sortis de son ventre ».
Son uniforme ne permettant pas de
l’identifier, c’est un ordre de départ retrouvé dans sa poche et signé du
Sous-Préfet d’Ancenis le 19 janvier 1814 qui aura permis de mettre un nom sur
ce corps.
Il se nommait Jacques Hiret.
À noter qu'il s’était engagé en remplacement d’un dénommé
Mathurin Morthier de la commune de Mésanger.
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